C’est connu. Un esprit oisif est un terrain fertile à tous les vices et la jeunesse d’aujourd’hui, en proie au désœuvrement, boit tout son saoul, se drogue à souhait, s’abandonne à la facilité, et s’encanaille dans une sexualité débridée et indécente, submergée par le fatalisme. La cybernétique criminelle lui procure les moyens de la dépravation et les réseaux sociaux servent d’exutoire à son mal être. Alors l’homosexualité est banalisée, la transition est en vogue, la zombification est ambiante. Face à cette jeunesse ardente, débridée, frénétique et furieuse, que faisons nous pour prévenir l’apocalypse ?
Anicet
- 7 octobre 2024
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