Avec les chaudes empoignades entre politiciens néo patriotes et les récriminations incessantes et récurrentes qu’un ancien président qualifiait récemment de « chiens écrasés », il y a eu peu de place pour d’autres sujets que les libertés publiques et les questions électorales dans le débat national. C’est que ce n’est pas si gratifiant de se fendre de réflexions fastidieuses sur une école atone qui développe des curricula de formation inadéquats. De sorte qu’en lieu et place des agents outillés et formatés pour impulser et promouvoir le développement participatif et intégral du Bénin, nous avons des perroquets prématurément condamnés au chômage, dont la vacuité de l’engagement patriotique met l’avenir en berne.
Anicet
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